J’ai appris avec tristesse la disparition d’Henri Beaugé-Berubé, compagnon de la Libération.
Courageux, il l’a été, puisque, âgé d’à peine vingt ans, il décide, peu après l’armistice, de rejoindre les Forces françaises libres et le Général de Gaulle pour combattre la barbarie et le nazisme.
La Représentation nationale n’oubliera pas son engagement et son héroïsme : son nom est à jamais gravé sur les murs de l’Assemblée nationale, depuis l’inauguration, le 27 mai 2014, d’un monument de Vincent Barré dédié aux compagnons de la Libération.
J’adresse, au nom de la Représentation nationale, mes condoléances à sa famille et à ses proches.
