C’est avec soulagement et une immense joie que j’ai appris la libération de Florence Cassez, condamnée en 2008 à une peine de 60 ans.
En mon nom et au nom de la représentation nationale, je salue la sage décision de la Cour suprême du Mexique.
Je pense ce soir à Florence, à sa famille et à toutes celles et ceux qui se sont mobilisés depuis sept ans.