Le père Georges Vandenbeusch, otage français enlevé au nord du Cameroun le 13 novembre dernier, vient de retrouver la liberté.
J’exprime mon soulagement à l’annonce de cette nouvelle. Je réaffirme avec force notre devoir de ne pas faiblir face à ceux qui font de la violence et de la terreur leurs seuls moyens d’expression au mépris des libertés et de la dignité humaine.
Je félicite l’action du Président de la République et du Gouvernement, en lien avec les autorités du Cameroun et du Nigéria, qui ont œuvré en faveur de cet heureux dénouement.
En mon nom et au nom de la Représentation nationale, je renouvelle ma solidarité avec l’ensemble des Français toujours retenus en otages à l’étranger et j’apporte tout mon soutien à leurs familles.